La philosophie de l’APDN a évolué. Au départ, le Maroc adoptait une seule orientation basée sur l’éradication, car elle est préconisée au niveau international. Ce qui explique que les premiers programmes de reconversion n’ont pas abouti. Les cultures alternatives ne constituent pas une
A Tanger, nous avons rencontré les jeunes cadres de l’Agence pour le développement des provinces du nord pour nous parler, sans langue de bois, de la question du cannabis. Nous sommes en face de brillants profils, enthousiastes, qui ne ménagent aucun effort pour sortir la région du sous-
Un café près de Bab Berred. Nous y rentrons pour acheter des cigarettes. Au fond de la salle, une table où sont assises 4 personnes, capuche de jellaba sur la tête. Dans la pénombre, on distingue mal leur visage, tout juste devine-t-on des traits austères et des barbes. Ils ont l
Lors de notre séjour à Tazrout, nous avons rencontré Mohamed Karmoun, un jeune jabli épatant qui a réussi à sortir de la culture du kif pour se consacrer à son projet de gîte rural. Portrait. Mohamed Karmoun a 27 ans. Il est titulaire d’un master en tourisme obtenu à l’Uni&
La question des «recherchés» est un véritable phénomène de société dans le Nord du Maroc, qui a de profondes conséquences sociales. Dans l’indifférence totale, des dizaines de milliers de paysans vivent, en toute clandestinité, dans leur fief, chez eux. Un véritable drame social.
Selon les régions rifaines, les tribus et les territoires, la culture du cannabis a des impacts économiques et sociaux bien différents. Ces différences rendent caduque toute approche globale ou monolithique pour lutter contre la culture du kif. Selon les régions rifaines, les tribus et l
Se pencher sur la culture du cannabis dans le Royaume, comprendre son ancrage et son enracinement dans la vie quotidienne de toute une région, celle du Rif, c’est plonger dans un maelström de considérations économiques, sociologiques, historiques et, surtout, tribales. Se pencher su
La demande immobilière accuse une forte régression. Une bonne partie des projets est soit à l’arrêt, soit différée. Les mesures de relance du gouvernement risquent de ne pas donner l’effet escompté. ÂÂ La crise de l’immobilier se confirme de jour en jour. Outre les indicateurs d
Avec un total de 22,6 milliards de dirhams en 2014, la masse bénéficiaire de la Bourse de Casablanca affiche un recul de près de 13% comparativement à 2013. Cette dégradation est cependant à relativiser, selon les analystes. Par ailleurs, le consensus haussier de la Bourse en 2015 n’est pas
A l'aube de l'arrêt des mesures de protection destinées aux producteurs d'acier locaux, le management de Sonasid se prépare, à nouveau, à contrer l'afflux de produits importés d'Espagne. Plus de maîtrise des charges et plus d'efficacité énergétique sont au menu. Â ‘‘2015 sera une