L’oléiculture revêt une importance capitale pour le Maroc du fait qu’elle représente 5% du PIB agricole mais aussi pour ses effets socioéconomiques conséquents. Etalée sur 1,2 million d’hectares, elle assure une production de 250.000 tonnes d’olives par an, dont 120.000 tonnes d’hui
• Le mot consulat se résume pour la plupart des gens à l’obtention ou au refus de visa. Pourtant, c’est une fourmilière qui gère plusieurs aspects à la fois politiques, économiques et sociaux, aussi bien afférents à ses ressortissants qu’au pays d’accueil. • Le cas du Consula
• Les entreprises commencent de plus en plus à externaliser les ftours. • L’événementiel et le lancement de produits se poursuivent au Ramadan. • Le point avec Kamal Essoulami Rahhal, traiteur.
Les produits alimentaires, notamment les poissons et les légumes frais, connaissent une hausse des prix. Pour le tourisme, Ramadan génère une baisse de nuitées de 59% pour les résidents.
Les hôtels proposent des remises ou une formule spéciale famille comprenant un package adapté avec séjour+ftour+soirée. Les voyagistes sont très pénalisés par le quota imposé pour El Omra de Ramadan. Les traiteurs sont impactés par l’absence des mariages qui sont différés après le mo
La capacité grimpe à 310.000 places au titre de l’exercice 2012/2013, avec l’ouverture de 20 nouveaux établissements. Le plan d’action de l’Office est financé sans recours aux subventions de l’Etat.
Le secteur est désormais doté d’une stratégie à l’horizon 2025. Celle-ci vise le doublement des emplois générés par le secteur à plus de 30.000 emplois directs et le triplement du chiffre d'affaires à plus de 15 milliards de DH.
L’exercice du pouvoir des islamistes dans certains pays arabes s’est soldé par un fiasco économique majeur. Ils semblent avoir été élus par sympathie du fait de leur mise à l’écart systématique par les régimes précédents et leur force d’opposition. Le principe de solidarité et d
Selon le CDVM, la performance des fonds actions est de plus de 4% depuis le 1er janvier, alors que leur actif net baisse de 0,16%. L’actif net des fonds monétaires baisse de 10,7% depuis le début de l’année et les fonds obligataires moyen et long termes continuent de drainer le plus de cash
A fin mai 2013, comparativement à la même période de 2012, l’exécution de la Loi de Finances laisse apparaître une hausse de 8,9% des dépenses ordinaires, combinée à une chute de 0,8% des recettes ordinaires. Ces deux facteurs ont, à l’évidence, accentué le déficit du Trésor.