La détérioration continue des déficits jumeaux, finances publiques et comptes extérieurs, couplée à une très nette décélération de la création monétaire, justifie la politique monétaire actuelle. Le taux interbancaire a enregistré une évolution volatile, atteignant un pic de 3,89% en
Des assouplissements monétaires toujours possibles au vu du faible niveau d’inflation. Le maintien de la stabilité et une politique monétaire bien rodée stimulent l’activité économique du pays. Les évolutions des prix de l’immobilier ravivent souvent le débat sur la place des prix
Le taux directeur maintenu à 3%. Le déficit public devrait se situer entre 5% et 6% du PIB à fin 2012. L’inflation se situerait à 2%.
Le contexte international devient progressivement plus pesant sur la croissance du pays. Les projections de croissance revues à la baisse.