Le Conseil de gouvernement, réuni mardi à Rabat, sous la présidence du Chef du gouvernement, Saâd-Eddine El Othmani, a adopté le Projet de loi de Finances (PLF) 2018 qui table sur un taux de croissance de 3,2% et prévoit de contenir le défici
Du nouveau pour l’industrie aéronautique au Maroc. Moulay Hafid Elalamy (MHE), ministre de l’Industrie, a annoncé la naissance de deux nouveaux écosystèmes aéronautiques à forte valeur ajoutée, dans le cadre du Plan d’acc&e
L'avionneur européen Airbus engage un spectaculaire rapprochement commercial avec le canadien Bombardier en prenant une part majoritaire de son programme d'avions moyen-courrier CSeries, au cœur d'un bras de fer avec Boeing. Ce rapprochement sur le mar
Le produit intérieur brut (PIB) du Maroc devrait, pour la première fois, franchir le seuil des 120 milliards de dollars (USD) à prix courants en 2017, pour s'établir à environ 121,4 milliards USD, prévoit la Banque africaine de développe
L'avionneur canadien Bombardier, mis sous pression par l'imposition de droits compensatoires et antidumping préliminaires de 300% par le département américain du Commerce dans le cadre de son conflit commercial avec Boeing, et par les faibles ventes de ses avio
La Loi de Finances n’est guère ce «moment» fondateur de toute démocratie qui se respecte, à travers lequel les élus de la nation débattent des politiques publiques et interpellent l’Exécutif, notamment sur ses choix en mati&
Les mêmes dispositions sont à l'ordre du jour. Manque d'imagination, d'innovation, de courage politique: la Loi de Finances ne joue pas son rôle comme il se doit. Les manquements, les failles… sont de plusieurs ordres.
A l’heure où de nombreux pays cherchent à réduire au maximum les véhicules circulant avec des moteurs diesel, le parc roulant au Maroc tend vers une diésélisation à outrance. Mises à part quelques associations é
Le déficit hydrique empêche plusieurs agriculteurs de commencer les travaux du sol et in fine l’emblavement des terres. Pour les secteurs en cours d’organisation, une nouvelle impulsion s’avère nécessaire. Le point avec Ahmed Ouayach, pré
Le marché des céréales, des légumineuses et des engrais tourne en deçà de la moyenne observée en pareille période. Le retard des pluies risque d’impacter les parcours naturels, donc le cheptel, et faire flamber les prix des alim