En matière de finance participative, on parle beaucoup des banques et des assurances, un peu moins des sukuks (obligations islamiques). Pourtant, cet instrument financier est indispensable au démarrage de l’écosystème participatif que le Maroc est en train
La demande d’adhésion du Maroc à la CEDEAO (Communauté économique des États d'Afrique de l'Ouest) vient de recevoir un soutien de choix en la personne d’Adama Koné, ministre ivoirien de l’Economie et des Finances.  
Bien que l’économie nationale ait été en panne de croissance en 2016, le secteur des assurances cotées à la Bourse a su tirer son épingle du jeu. Performant aussi bien sur le plan commercial que financier, il a renoué avec des taux de
Bon nombre de consommateurs marocains entendent bien profiter des multiples avantages que présente la finance halal. Parmi les sujets dans l’ère du temps au Maroc figure la finance participative. Pour cause, la Banque centrale a délivré le pr
Andrew Parmley, lord maire de la City de Londres, effectuera le 12 avril une visite de travail au Maroc pour booster la coopération économique et commerciale entre les deux pays. L'annonce de cette visite a été faite vendredi par Dr. Parmley lor
La masse bénéficiaire des six banques cotées en hausse, malgré une conjoncture pas très favorable en 2016. Rude concurrence entre les trois premières banques de la place en terre africaine. Le secteur bancaire marocain aura évol
Brahim Benjelloun-Touimi, administrateur Directeur général exécutif de BMCE Bank of Africa, lève le voile, entre autres, sur le projet de banque participative, BTI Bank (Bank Al Tamweel Wa Al Inma), et sa stratégie commerciale. Il évoque également la
Malgré les vents contraires et une conjoncture compliquée, Lesieur Cristal a stabilisé son business et fait preuve de résilience en 2016. Dans un environnement 2016 difficile, marqué par une forte décélération de la
La société immobilière cotée continue de présenter des indicateurs financiers en ligne avec son businessplan. Le chiffre d’affaires dépasse pour la première fois les 2 milliards de DH. Les résultats de Réside
Alliances, qui a réduit sa dette bancaire de plus de 50% en 2016 tout en trouvant des protocoles d'accord pour la première phase de reprofilage de ses dettes privées, doit désormais gérer les deux derniers dossiers épineux de sa restructuration