L'acquisition de six nouvelles filiales en Afrique subsaharienne d'un coup n'a pas été de tout repos pour Maroc Telecom. Leur intégration a eu un effet positif sur le chiffre d'affaires de 2015, mais les marges et le résultat net en ont pâti. Le management s'attend à ce que la vitesse de cro
La Direction générale des impôts prépare sa mue pour devenir une administration ouverte sur son environnement, plus moderne et plus efficace. Un changement d’approche qui vise à rétablir la relation de confiance entre le contribuable et le fisc. Dématérialisation des process, contrôle b
Après 8 ans d’attente, la loi sur les OPCI vient d’être adoptée à l’unanimité par la Chambre des représentants. Pour les professionnels de l’immobilier, c’est une étape importante de franchie, qui doit redynamiser le secteur et le pourvoir en liquidité. Néanmoins, certains exper
En 2007, la Cour des comptes a recensé pas moins de 82 établissements publics qui n’adhèrent pas au RCAR. L’entrée en action de l’ACAPS remettrait les pendules à l’heure en généralisant l’adhésion à ce régime, à l’ensemble des organismes publics. Salah-Eddine Benjelloun, éc
Intervenant récemment lors d'une conférence-débat organisée par la Banque privée du Groupe Banque Populaire, le ministre des Finances, Mohamed Boussaid, a longuement commenté les réalisations de 2015 et les prévisions du gouvernement. Tout en se montrant rassurant, le m
Ahmed Rahhou, président Directeur général de CIH Bank, et Amin Benjelloun Touimi, Directeur général de Barid Al Maghrib, ont récemment procédé à la signature d’une convention cadre permettant à CIH Bank d’avoir accès au registre national de l’auto-entrepreneur. L’implémen
La passation des pouvoirs entre Hassan Boulaknadal et Nezha Hayat s'est effectuée le 10 février au ministère des Finances. Une nouvelle ère pour le marché financier marocain. Tour d'horizon des défis que devra relever le nouveau régulateur. En nommant Nezha Hayat à la tête de l'
Lors du Conseil des ministres, tenu samedi 6 février à Laâyoune, Hassan Boubrik, directeur de la DAPS, a été nommé président de l’Autorité de contrôle des assurances et de la prévoyance sociale (ACAPS). C'est le début d’une régulation et d’une supervision encore plus strictes.
Les fondamentaux de nos relations économiques et financières externes n’ont rien de plus encou-rageant, comparativement aux années 80, pour justifier une libéralisation des mouvements de capitaux et une convertibilité du Dirham. La situation actuelle est bien plus fragile, voire dangereuse,
Le basculement de quelques établissements publics affiliés à la CIMR ou à la CNSS au RCAR n’est apparemment pas encore, à l’ordre du jour. Une non-conformité à la loi qui date depuis au moins trois décades, et qui constitue un manque à gagner certain pour le pôle public. D