Lors d’une récente rencontre organisée dans les locaux de l’Association marocaine des exportateurs (Asmex) qui portait sur les risques liés aux exportations, le ministère du Commerce extérieur avait d’une certaine manière dressé un bilan d’étape des différentes politiques publiques
Le tandem filière électrique et branche électronique brille par son poids dans la dynamique des exportations nationales. Ces deux secteurs représentaient déjà plus de 25 Mds de DH en 2012. Les ventes à l’étranger du secteur électronique auraient encore connu une hausse en 2013.
Les exportations liées à l’industrie alimentaire ont progressé de 3,4% pour se situer à 20,1 Mds de DH en 2013. La prépondérance du secteur agroalimentaire dans la dynamique économique du pays est reflétée par sa part dans les exportations nationales (18,5%).
La part des métiers mondiaux du Maroc (MMM) dans les exportations totales continue de progresser depuis 2010. En faisant la pondération de la valeur totale de leurs exportations, on arrive au chiffre de 83 Mds de DH en 2013 (sur un total de 182,8 Mds de DH).
Le gouvernement canadien apporte un concours financier de 5 millions de dollars canadiens dans l’optique de financer le programme de développement des exportations pour la création de l’emploi (EDEC).
La stratégie nationale de développement des exportations se décline concrètement en trois axes phares. Dans un premier temps, elle sera financée à hauteur de 1 milliard de DH. Le ciblage des secteurs et des entreprises éligibles témoigne de la grande attention accordée à la méthodologi
Progression des exportations de 7,5%, hors OCP. Le déficit commercial a poursuivi son allègement de 2013 de 3,2%, soit 5,4 milliards de DH, durant les dix premiers mois.
La valeur des importations a baissé de 1,2% soit à un rythme moins élevé que celui de la valeur des exportations (-1,7%) qui a été impactée par la baisse (-21,2%) du chiffre d’affaires à l’export du groupe OCP. La dernière note de conjoncture de la Direction des études et des prévisi
Mohamed Tazi, Directeur général de l’Association marocaine des industries du textile et de l'habillement (Amith), procède à un balisage exhaustif du secteur. Il passe en revue les différentes opportunités qui s’offrent au textile national sur les marchés internationaux, tout en relevant
■ Le Maroc a poursuivi une ouverture naïve qui a plus profité à ses fournisseurs.■ Le modèle économique tel qu’il a été conçu bloque la croissance compétitive.■ BAM essaye de convaincre qu’une politique de change flexible nécessite une coordination efficiente.