■ Le prochain gouvernement est appelé à relever de nombreux défis économiques et sociaux.■ Maîtrise des dépenses publiques, chômage des jeunes, retraite, Caisse de compensation, éducation, santé… autant de priorités dans un contexte des plus difficiles.
■ Les conjonctures nationale et internationale ne permettent pas de réaliser un taux de croissance de 7%.■ Le PJD a fait de la bonne gouvernance son cheval de bataille. Il veut faire passer des messages lors de son investiture. ■ Le point avec Driss Benali, économiste.
■ Le parti est ouvert à toutes les alliances, en priorité avec la Koutla, écartant au passage le PAM.■ Pour la désignation des ministres, il préfère la compétence, l’homogénéité et un sang nouveau avec un certain profil.
■ La délégation de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe a rendu publiques ses observations au lendemain du scrutin.■ Ambiance calme constatée, mais plusieurs écueils relevés également.■ L’APCE est prête à renforcer sa coopération avec le Parlement nouvellement é
■ 5% de croissance en moyenne pour les 5 ans à venir.■ Abbas El Fassi tance l'alliance des huit.
- Pour le parti de la lampe, l’Islam est libéral dans les affaires, mais il est socialiste au niveau de la répartition des richesses. - Au programme économique, il est prévu 7% de croissance, un SMIG à 3.000 DH, un doublement du logement social et un développement de la finance islamique
- 330 engagements de l’Istiqlal ont été lancés lors des législatives de 2007, dont 280 ont été réalisés, soit 85%. - Programme politique, bilan, amazighité, cumul des mandats, alliance, fiscalité…, le ministre a répondu à plusieurs questions qui taraudent les électeurs. - L’
Eneko Landaburu, Ambassadeur- chef de la délégation de l’Union européenne à Rabat, partage ses réflexions sur le printemps arabe.Invité de l’EuroCham, il a encore fait preuve de pertinence et de franchise dans son propos.Résumé d’une intervention passionnante et passionnée.
La balkanisation est une contrainte majeure pour leur crédibilité et leur engagement.L’éclatement et le mode de scrutin favorisent l’éparpillement. Il reste peu de temps pour se préparer aux élections législatives en octobre, tant en terme de programmes politiques que pour arrêter les l
La nouvelle Constitution apportera un nouveau souffle aux droits de la femme au Maroc.Les 11 propositions de l’AFEM ont été prises en considération.Après la publication du nouveau projet de Constitution et après plusieurs mois de spéculation, la balle est désormais dans le camp du peuple ma