■ Le gouvernement devra nous présenter sa feuille de route cette semaine.■ Des signaux de changement sont attendus par la société marocaine. ■ L’équipe de Benkirane doit jouer à la fois au pompier et entamer des réformes structurelles qui demandent beaucoup de courage politique.En
■ L’élaboration de la Loi de Finances 2012 sera le premier test du gouvernement.■ Pour honorer même en partie les engagements électoraux de la majorité, il faudra diminuer les dépenses et augmenter les recettes publiques.■ Moralisation, éducation, santé, emploi, croissance… il y
■ Nommé par SM le Roi, Abdelillah Benkirane devient le premier chef du gouvernement au Maroc après la réforme de la Constitution.■ Craint et admiré à la fois, le PJD est désormais appelé à former le prochain gouvernement.■ Autant dire que c’est une nouvelle alternance que connaît
■ Le prochain gouvernement est appelé à relever de nombreux défis économiques et sociaux.■ Maîtrise des dépenses publiques, chômage des jeunes, retraite, Caisse de compensation, éducation, santé… autant de priorités dans un contexte des plus difficiles.
■ Les conjonctures nationale et internationale ne permettent pas de réaliser un taux de croissance de 7%.■ Le PJD a fait de la bonne gouvernance son cheval de bataille. Il veut faire passer des messages lors de son investiture. ■ Le point avec Driss Benali, économiste.
■ Le parti est ouvert à toutes les alliances, en priorité avec la Koutla, écartant au passage le PAM.■ Pour la désignation des ministres, il préfère la compétence, l’homogénéité et un sang nouveau avec un certain profil.
■ La délégation de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe a rendu publiques ses observations au lendemain du scrutin.■ Ambiance calme constatée, mais plusieurs écueils relevés également.■ L’APCE est prête à renforcer sa coopération avec le Parlement nouvellement é
■ 5% de croissance en moyenne pour les 5 ans à venir.■ Abbas El Fassi tance l'alliance des huit.
- Pour le parti de la lampe, l’Islam est libéral dans les affaires, mais il est socialiste au niveau de la répartition des richesses. - Au programme économique, il est prévu 7% de croissance, un SMIG à 3.000 DH, un doublement du logement social et un développement de la finance islamique
- 330 engagements de l’Istiqlal ont été lancés lors des législatives de 2007, dont 280 ont été réalisés, soit 85%. - Programme politique, bilan, amazighité, cumul des mandats, alliance, fiscalité…, le ministre a répondu à plusieurs questions qui taraudent les électeurs. - L’