 
              	Finances News Hebdo : Comment jugez-vous l’évolution du dossier du Sahara à l’ONU ? Mohamed Belmir : Comparativement à d’autres dossiers abordés par les Nations unies auparavant, celui du Sahara a pris beaucoup de temps pour être régl&eac
 
              	De New York à Dakhla, un fait s’impose : l’initiative marocaine d’autonomie est devenue le point de ralliement d’une majorité d’Etats, qui y voient la seule sortie praticable d’un conflit artificiel entretenu sournoisement par l’Algérie
 
              	Cet accord prévoit l'extension du traitement préférentiel en matière de droits de douane, accordé par l'UE au Maroc, au Sahara. Il garantit également que les preuves d'origine et l'étiquetage des produits précisent bien qu
 
              	La diplomatie n’est pas une course de vitesse, mais requiert plutôt beaucoup de patience. Le Maroc l’a compris mieux que quiconque : en privilégiant la constance, la cohérence et la crédibilité, il a transformé le dossier du Sahara marocain, longt
 
              	II est des moments dans l’histoire des nations où la clarté s’impose face à la confusion. Le Royaume du Maroc, héritier d’une civilisation millénaire et guidé par la vision de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste,
 
              	Cette position a été exprimée par la République slovaque dans la Déclaration Conjointe signée à l’issue d'une rencontre, jeudi à Rabat, entre le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des
 
              	Cette position a été exprimée par le ministre burundais des Affaires étrangères, Albert Shingiro, dans un communiqué conjoint signé à l'occasion de la tenue à Rabat de la première session de la Commission Mixte de coopé
 
              	Finances News Hebdo : Ces derniers temps, le dossier du Sahara marocain a connu de nombreux rebondissements favorables pour le Maroc. Comment jugezvous cette évolution ? Mohamed Belmir : Le Maroc n’a cessé de marquer des points importants en faveur de son intégrit
 
              	Gérard Larcher, président du Sénat français, n’a pas débarqué à Rabat avec des formules creuses et l’escarcelle vide, mais avec une volonté affichée de consolider le nouveau chapitre des relations franco-marocaines. Sa visite